Robe en deux pièces en taffetas de soie façonné violet et noir. Initialement droite vers 1861, la jupe, d'une très grande ampleur, a été remontée peu après avec un système de tirettes retenues par de petits boutons recouverts, assortis au corsage. Elle pouvait ainsi se trousser sur un jupon de soie noire, et constituait un pratique ensemble de promenade. Un ingénieux héritage des robes troussées du XVIIIe siècle...et une mode assez éphémère au Second Empire, qui sera remplacée par des jupes plus courtes, coupées au dessus de la cheville, et portées seulement par de rares "aventurières". Sans griffe. Vers 1862.
Suivante Précédente SuivanteLe Petit Messager, 1863.
Manteau de robe de bal, en faille de soie, ou moire antique rose dragée. Petits mancherons à plis plats, décolleté bateau. Fermeture par boutons ronds simulant des perles de culture, sur toute la hauteur. Initialement porté sur une sous-jupe contrastante. Initialement agrémenté d'un volant d'Alençon, aujourd'hui déposé. (mais existant). Sans griffe. Vers 1863.
Robe de bord de mer ou d’intérieur en une seule pièce en coton, agrémentée de falbalas bordées d’une dentelle au fuseau, cette garniture simulant un manteau de robe. Robe portée sur une crinoline projetée, boutonnée devant par de gros boutons de nacre blanche. Sans griffe. Vers 1864.
AccueilCette robe très particulière est selon moi une robe de bain pour jeune demoiselle. Le style marin évoqué par les rubans de velours renforce cette conviction, tout comme l'ourlet doublé d'un coton glacé très raide et bordé d'une cordelette, sensés empêcher que la jupe ne flotte... Le pantalon ne m'est pas parvenu.Robe en une pièce en bengaline de soie ivoire, fermée au dos par une rangée de boutons recouverts de satin et résille bleus. Le corsage et les cotés de la jupe sont agrémentés de rosettes de bengaline et rubans en velours comète. Sans griffe. Vers 1865.
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Robe de promenande en taffetas de soie couleur chataîgne. Corsage simple orné d'applications de passementerie perlée de jais noir, disposées aux entournures des manches et aux poignets. Jupe ample sur crinoline. Des cordellettes intérieures permettent de la trousser. Sans griffe. Vers 1863-1864.
PrécédenteRobe d'après-midi de ligne Princesse en taffetas de soie vert emeraude. Toutes les coutures sont accentuées par des passe-poils. Col de style Van Dyck, manches et jupes agrémentés de macarons de velours, piqués de mèches de velours peluche desquelles s'échappent des petites boucles de perles de jais. Les boutons de la jupe sont décoratifs. Sans griffe. Vers 1864-1865.