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J'adresse mes sincères remerciements à Claude et à sa famille, pour leur générosité, et leur accueil toujours aussi chaleureux. Mêmes remerciements reconnaissants à "La Mode Retrouvée".Cette toilette a sans doute réalisée durant le Consulat (1799-1804), dans une robe XVIIIème, à l'Anglaise ou à la Française (?), et conserve une étoffe au coloris aussi rare que changeant, et quelques ornements caractéristiques, tels que "chicorées" et boutons recouverts. Tout le reste a été complètement réactualisé : manches mitaines légèrement ballonnantes en tête, poitrine et taille haute, dos court de forme triangulaire, et enfin chute de reins estompée par des fronces s'achevant en une très courte traîne, font de cette robe une pièce typique...Robe en une pièce, en taffetas de soie changeant jaune d'or à orangé, manches-mitaines ballonnantes, dos orné de petits boutons recouverts de soie brodée. Chicorées ornant l'ourlet et formant ceinture.

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Suivante SuivanteLoin des usages de la fin du siècle, cette robe à longue traîne pouvait tout aussi bien être portée le jour, que pour une occasion particulière. En l'absence d'informations, je ne peux esquisser d'hypothèse sur les circonstances convenant au port de cette toilette. Robe traînante en mousseline brodée au point de Beauvais, motifs de frises végétales stylées à plusieurs registres courant sur le corsage, le milieu devant et en pourtour d'ourlet. Semi floral brodé de même. Manches à léger bouffant. Vers 1805.
(FUKAI, Akiko, Fashion, Une histoire de la mode du XVIIIe au XXe siècle, Editions Taschen, Köln, 2002. p 165.)
Précédente Autre merveille, même goût pour les broderies florales. Cette robe en mousseline des Indes brodée au point de Beauvais condense tout le raffinement de la mode Empire...et les 800 km parcourus pour aller à sa rencontre furent comme un voyage dans le temps. Vers 1800.
Spencer en soie façonnée, brochée de fleurs au fil d'argent. Manches mitaines. Vers 1810.
Robe parée en une pièce, illusion de spencer en satin champagne, manches bouffantes retroussées par un bouton décoratif, pourtour du col orné d'une ruche de tulle. Ceinture en cordelette de soie prolongée de deux glands, jupe parée en mousseline des Indes brodée au point de Beauvais. Vers 1800.
Corsage de robe ou spencer en soie brochée crême. Longues manches mitaines ballonnantes en tête, ornées de petites coques et de rubans de satin passe-poilés Vers 1815-1818.
Accueil Précédente Loin d'être simplement un joli jupon, cette jupe est en réalité partie d'une robe Empire, comme la richesse et la variété des broderies blanches peuvent le révéler à un connaisseur...Privée de sa partie corsage, elle n'en demeure pas moins un exemple extrêmement bien conservé des toilettes en vogue durant tout le Premier Empire. Jupe en linon garnie de broderies de fleurs blanc sur blanc ( pas moins de 6 variétés florales) vers 1805-1807.

 
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